Le lieutenant Henri de Boncognac se voit confier la 🫡 direction d’un JET (jeunes en équipe de travail), une structure censée offrir une seconde chance à des jeunes en rupture, plongés dans la spirale de la délinquance. Henri découvre l’univers de la prison et des « petites frappes », ces jeunes aux histoires similaires 🤕 : enfants abandonnés, familles brisées, parcours jalonné de délits de plus en plus graves. Derrière un cadre strict, mêlant rudiments militaires 🪖, travaux et sorties culturelles, il tente d’inculquer : respect, confiance, espérance, pardon. Les conversations sur le sens de la vie et la foi deviennent autant de moments de grâce, où la discipline se transforme en outil de reconstruction. La mission n’est cependant pas un long fleuve tranquille : les rechutes sont fréquentes, les réincarcérations douloureuses et chaque échec pèse sur la conscience du lieutenant. Mais il y a aussi des regards qui s’éclairent 😲, des vies qui basculent. Henri incarne le paradoxe ...
Récompenser les bons et punir les méchants est une évidence ⚖️ pour chacun(e). Pourquoi alors, l’idée d’un Dieu juste suscite-t-elle le rire ou l’incrédulité ? Comment comprendre que des choix fugaces, des péchés de quelques secondes, puissent entraîner une souffrance sans fin ? L’enfer n’est pas seulement un lieu de tourments physiques, dit l’auteur, mais surtout la privation définitive de l’amour. N’as-tu jamais ressenti la douleur d’un amour terrestre rejeté 💔 ? Imagine alors l’horreur d’une éternité sans l’amour de Dieu. Mais pourquoi une telle durée pour des fautes si brèves ? Parce que chaque péché mortel est une injure infinie, une rupture de l’Alliance et que les pécheurs, poussés par les démons, s’endurcissent et les répètent alors plus facilement. Mais l’enfer est surtout le résultat d’une liberté : celle de refuser la charité, de s’adonner à l’impureté, au blasphème 🤬, à l’immodestie, au rejet de l’autre, ... Pourtant Dieu, à travers la Bible et les saints, nous donne des ...