Lanceuse d'alerte 📣 depuis plusieurs années, Thérèse Hargot, clame haut et fort que la pornographie détruit non seulement l'amour mais également l'individu puisqu'elle stimule 😵💫, dans le cerveau, la même zone que la drogue.
Marché financièrement très juteux 💰, puisqu'il rapporte plus que Netflix et la ligue Nationale de basket grâce à la publicité, le porno cherche à conquérir un public toujours plus large et jeune 🧸. Pour initier la dépendance, il doit être facilement accessible et gratuit, voilà pourquoi il est aujourd'hui en libre-service.
L'addiction, la décharge de dopamine, est déclenchée dès le plus jeune âge puis entretenue à l'adolescence, bridant l'imagination érotique 👯. Le cerveau, adepte du moindre effort, considère la masturbation comme répondant à son besoin génétique de reproduction. Quel aubaine que de ne plus avoir à chercher ni séduire un(e) partenaire ! En plus, on peut changer à chaque fois et il(elle) est toujours disponible 📱 ! Forme de prostitution, puisque service sexuel contre rémunération, il n'est pas rare que les consommateurs se tournent vers des prostitué(e)s dans la réalité.
Dépendance, honte 🫣, perte de confiance en soi, dépression, autant d'effets secondaires connus de la pornographie qui reste cependant intouchable sous réserve de liberté sexuelle. Elle fait pourtant de nombreuses victimes qu'il convient de limiter ou d'aider 🤗 par le dialogue puisqu'il est aujourd'hui illusoire de penser y échapper.
Pour vendre tout et n'importe quoi, il faut faire en sorte que les adultes soient des enfants capricieux soumis à leurs pulsions sexuelles. Le revers de la médaille, c'est la violence. La société hypersexualisée produit des hommes incapables de se retenir sexuellement et des femmes pour qui se chosifier est banalisé.
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